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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
CinéAnalyse : En se réassurant par la voix, la parole, la mémoire | CinéAnalyse : En se réassurant par la voix, la parole, la mémoire | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cinéloft du Quai | Le cinéloft du Quai | |||||||||||||||
Nadège Tecrine - "Interrogations naïves", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 13 sept 2020 | [(CinéAnalyse) : En s'assurant de la crédibilité immédiate de la parole, de la voix ou de la mémoire] |
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1996. - Breaking the Waves (Lars von Trier). 2022. - Aftersun (Charlotte Wells). --- Qu'est-ce qui fait que nous croyons dans la réalité du monde, que nous le prenons pour réel ? De tout temps, cette crédibilité repose sur la voix, qui est un objet paradoxal, ni naturel ni artificiel. Dans le prolongement de cette voix, d'autres objets se sont installés, qui légitiment la crédibilité d'aujourd'hui. La voix a toujours été impliquée dans les films. Même à l'époque du cinéma muet, par le biais des mimiques, des expressions, des cartels, elle était présente et structurait les films. Mais qu'il y ait eu de la voix n'implique pas qu'elle ait toujours été à la même place. Entre l'échange verbal, le dialogue, la voix intérieure, la voix off, la protestation, le cri, etc., les voix sont multiples, contradictoires, hétérogènes. Le cinéma montre que, même dans l'unité de la présence, la voix est multiple. |
-------------- Propositions -------------- -Au cinéma, la voix pure, séparée du corps, est porteuse de sainteté ("Breaking the Waves", film de Lars Von Trier, 1996) |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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CineHantise VoixEpar AA.BBB CineLoftBN.LLM ME_VoixEpar Rang = RVoixEparsGenre = - |
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