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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | |||||||||||||||||
Derrida, l'à - venir | Derrida, l'à - venir | |||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la pensée | Derrida, la pensée | ||||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p142 Penser (Beu ys, 1964) - |
Derrida, notre époque | Une pensée de la trace doit aussi pointer au-delà de l'epistémé, par une pensée blanche, neutre, indéterminée, sans poids, qui dise l'époque à venir de la différance |
Derrida, notre époque | |||||||||||||||
Derrida, sa Cabale cachée | Derrida, sa Cabale cachée | |||||||||||||||||
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Après avoir consacré 140 pages à construire la matrice théorique de la déconstruction, ce qu'il appelle la grammatologie, Derrida s'interroge sur ce qu'il en est de la pensée elle-même. Que pourrait être une pensée de la trace? Pourrait-elle échapper au logos? Après la clôture du logocentrisme, ni la science, ni la philosophie ne sont compétentes pour.... pour quoi? Tout est là. On ne peut pas dire l'archi-écriture car elle est innommable, et même les concepts forgés pour cela (différance, trace, réserve) échappent difficilement aux limites de l'épistémé. D'où la suggestion de Derrida : il faut une pensée, mais une pensée qui, d'une certaine manière, ne veuille rien dire; une pensée qui participe au jeu du système, mais sans aucun poids, une pensée qui désignerait l'époque à venir, mais sans l'enfermer dans un contenu. |
Cette pensée, dissociée de la théologie négative, pourrait être dite apophatique. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaA_venir DI.FFA DerridaPenseeHP.LHP DerridaCtpVA.JIO MQiDerridaCabaleLD.LLK UPenseeTrace Rang = GGenre = MJ - NA |
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