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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la voix | Derrida, la voix | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la présence | Derrida, la présence | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p236 Voix interieure (Auguste Rodin, 1881) - |
Derrida, signifiant : signifié | La voix comme présence à soi met le signifiant à l'abri, hors du monde, dans un vécu où la différance est supprimée |
Derrida, signifiant : signifié | ||||||||||||||
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La voix est immédiatement entendue de celui qui l'émet. Tant qu'elle est vécue comme parole vive, elle reste dans l'intériorité pure de l'auto-affection. Elle ne tombe pas dans le monde (c'est-à-dire l'extériorité de l'espace). Le signifiant émis n'échappe pas au signifié, il reste dans l'idéal. De même, le cri inarticulé (s'il existe) est celui qui ne devient pas signifiant dans l'espace. Comme la conscience, un tel cri n'est peut-être qu'un mythe; car pour qu'il y ait présence à soi, il faut supprimer la différance (c'est-à-dire le travail du signifiant). La présence présume cette suppression, mais ne parvient pas à réduire totalement l'opacité du signifiant. Dès le seuil de l'articulation, la non-présence est ressentie dans la voix elle-même : il y a fissure, écriture, trace. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaVoix CS.ROU VoixPresenceID.VEC DerridaSignifiantCE.LLO T.réduction Rang = KGenre = MR - IA |
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