Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'humain | Derrida, l'humain | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p343 Langage supplementaire (Mahalia Heph, 2010) - |
Derrida, le langage | Le langage humain se distingue du langage animal par le pouvoir de substituer un organe à un autre, c'est-à-dire la faculté d'articulation ou de supplémentarité |
Derrida, le langage | ||||||||||||||
L'humain, un être de supplément | L'humain, un être de supplément | ||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Pour Jean-Jacques Rousseau, la langue des besoins est une langue naturelle. Si le langage humain relève du besoin, en quoi se distingue-t-il du langage animal? La fixité n'est pas en elle-même un critère suffisant, car d'où vient la possibilité du changement chez l'homme? de la capacité humaine à articuler, ce mot étant pris dans un sens plus large que le sens linguistique de l'articulation signifiante. L'homme est capable d'articuler nature et convention, espace et temps, vue et voix, vision et audition, main et esprit, etc... Les substitutions ne sont pas seulement signifiantes, elles portent aussi sur les sens, les institutions, voire les passions... Il n'y a pas d'origine simple du langage humain. Là où il commence, c'est-à-dire par l'articulation, on est déjà dans le supplément, c'est-à-dire une certaine dégénérescence de la langue par laquelle elle est prise dans d'autres systèmes : l'écriture, la convention, le logos, la société. |
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaSupplement BF.GHJ DerridaHumainHF.GHH DerridaLangageFF.DFF ProSupplementCL.MPP T.substitution Rang = GGenre = DET - DET |
|||||||||||||||