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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Plaider pour la peinture | Plaider pour la peinture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la peinture | Derrida, la peinture | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La vérité en peinture", Ed : Flammarion, 1978, p182 (+R, par-dessus le marché) Composition avec Mona Lisa (Vladimir Malevitch, 1914) - |
L'irreprésentable | Dans la peinture, un élément sauvage, irreprésentable, résiste à l'échange entre représentation et discours |
L'irreprésentable | ||||||||||||||
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Jacques Derrida évoque cet élément à propos d'un dessin préparatoire de Valerio Adami inspiré par un de ses propres textes, Glas. Ce facteur sauvage n'y prend pas la forme d'un phonème, d'un bruit, d'un cri ni d'un éclat de voix, lesquels (selon Derrida) restent homogènes au discours, mais : - d'un éclatement de la parole dans le dessin (texte ou lettres tracé(e)s par le dessinateur), - d'une tache de couleur dans la graphie (la tache bleue de la version finale, Noyée à côté de laquelle, par quelques traits, Adami fait sentir que la queue du poisson bouge encore, qu'elle est animée d'un rythme qui est celui de le mort et aussi de l'écriture - car ce poisson est Jacques Derrida), - d'un trait dans la couleur (dans Noyée, un trait partage la même couleur rouge entre le dessin d'un poisson, un texte ou le fond du tableau : ce trait marque dans la même couleur une distinction, une injonction, une loi), c'est-à-dire d'éléments non phonétiques, non vocaux, hétérogènes au discours. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida ArtPeinture DC.OPR DerridaPeintureCI.HFF ProIrrepresentableHE.KQH UPeintureSauvage Rang = NGenre = MR - IB |
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