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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la dissémination | Derrida, la dissémination | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Logocentrisme ou dissémination | Logocentrisme ou dissémination | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p57 Street art - |
L'espace de dissémination | L'espace de la dissémination est marqué par une syntaxe indécidable du plus |
L'espace de dissémination | ||||||||||||||
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Jacques Derrida introduit la notion d'espace de la dissémination à propos de Lautréamont. Dans les Chants de Maldoror, le réel, explique-t-il, sort de son trou (c'est le moment où une vieille araignée sort sa tête d'un trou dans le sol. Elle n'apporte pas que le venin d'une mort virtuelle, elle fait sortir de la narration; d'un regard, elle jette le narrateur dans le réel). L'irruption du réel menace la signification. Le texte se présente comme du hors-texte (bien qu'il n'y en ait pas, car cette partie du récit fait effectivement partie du texte), comme une préface incessante (bien qu'il n'y en ait pas non plus, toute préface étant elle aussi une partie du texte). Le texte agite une contradiction sans fin - qui brouille toutes les oppositions et met le pluriel en effervescence. ------- La syntaxe du plus est une logique du supplément. Elle n'est pas gouvernée par le système usuel des oppositions réglées (le discours), mais par une démultiplication (pluralisation) imprévisible des différences, qui ne se classe ni ne se cadre. Ce n'est plus une syntaxe, c'est un espace à plusieurs dimensions, un espace d'écriture qui donne sa forme à l'espace de dissémination. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaDissemination LE.HUI EDissLogosED.LED MQiEDissSC.LLD T.enplus Rang = KGenre = MK - NG |
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