Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'écriture | Derrida, l'écriture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p128-9 Travesuras del amor (Manuel Ocaranza, 1871) - |
Derrida, la différance | Un tant qu'écriture, le "pharmakon" est un excès, une sortie hors de la série des oppositions; mais il est aussi l'étrange différence qui rend possible la sérialité |
Derrida, la différance | ||||||||||||||
Derrida, le pharmakon | Derrida, le pharmakon | ||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Ce supplément qu'est l'écriture (par rapport à la parole) est dans une position paradoxale. D'une part, il entre dans le système des oppositions voulu par le roi : bien / mal, vrai / faux, dedans / dehors, etc...- car l'écriture est un système. D'autre part, comme elle n'est proférée par aucun être vivant, elle n'offre pas de garantie. Ambiguë, morte, elle est vérité ou mensonge, à la fois dans et hors le système des oppositions. Il y a plus : le supplément (ou gramme) étant extérieur au système, c'est à partir de lui que s'établit l'opposition primordiale, la matrice de toutes les oppositions. Ce qui, dans l'écriture, entre dans le système, n'est que fantôme de ce qu'est l'écriture (c'est-à-dire le supplément ou pharmakon) : un excès susceptible de se replier, mais qui reste en excès. |
Cet excès est un poison dangereux, comme le craignait Platon. Empoisonnement explicite parfois, mais aussi implicite dans toute série qui déborde la stricte utilité, par exemple celle des tableaux de chaussures de Van Gogh. |
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaEcriture HF.HFF DerridaSupplementIE.IIU DerridaDifferanceFQ.ILL DerridaPharmakonFP.LFP UPharmakonExces Rang = NGenre = MR - IB |
|||||||||||||||