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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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CinéAnalyse : en soutenant la singularité d'un désir | CinéAnalyse : en soutenant la singularité d'un désir | ||||||||||||||||
Sources (*) : | CinéAnalyse : Entre plaisir et discours | CinéAnalyse : Entre plaisir et discours | |||||||||||||||
Daniel Payot - "Anachronies de l'oeuvre d'art", Ed : Galilée, 1990, p79 Et l'or de leurs corps (Gauguin, 1901) - |
Les oeuvres surgissent dans l'écart d'une économie du plaisir (dicible) et d'une jouissance (indicible) |
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Barthes distingue entre le plaisir, qui est dicible, et la jouissance, qui ne l'est pas. Plaisir et jouissance sont des forces parallèles, qui ne peuvent se rencontrer. La jouissance est indicible, interdite, elle surgit comme trace d'une coupure, d'une scandale, d'un boitement. Au contraire le plaisir est prévisible. Il se présente comme un ordre, une continuité, une progression pacifiée (paix, confort et bien-être). Ce qui est aujourd'hui non-dit est pré-compris, pré-dit, prêt à émerger dans un champ homogène. La jouissance n'est ni l'aboutissement, ni l'épanouissement d'un dire. C'est une chose autre qui n'est ni gérable, ni intégrable dans un système d'oppositions. Pourtant nous en jouissons. Nouis jouissons de la jouissance, et aussi de la différence entre plaisir et jouissance, qui est indicible. C'est ainsi que, dans la modernité, surgissent les oeuvres : ce sont des textes qui nous rappellent l'impossibilité d'un dire. Ils nous font éprouver l'interruption du plaisir, l'inter-dit. |
Le plaisir est un discours qui dit que le plaisir est déjà là, il suffit de le prendre, le cueillir. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Payot ArtDesir MJ.LJC InsuDDJYC.LYC UOeuvresDicible Rang = MGenre = MR - IB |
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