Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'être, au - delà de l'être | Derrida, l'être, au - delà de l'être | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Marges de la philosophie", Ed : Minuit, 1972, p241 La femme, etre fragile - |
Derrida, la voix | La forme la plus générale du "supplément de copule" est la phrase nominale où la fonction "être" est assurée par un arrêt de la voix, le blanc d'un espacement |
Derrida, la voix | ||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
La copule, ou marque grammaticale d'identité, correspond dans les langues indo-européennes à la troisième personne du singulier du verbe être. Exemple : Rome est la capitale de l'Italie. Elle remplit différentes fonctions logiques : équation formelle, inclusion de classe (La rose est une fleur), participation à un ensemble. Dans certaines langues (russe, hongrois), les mêmes fonctions sont remplies par une phrase nominale. Le "est" (absent) est alors remplacé par une pause : Rome ... capitale de l'Italie. C'est ce que Derrida, à la suite de Benveniste, appelle le supplément de copule. La fonction grammaticale est assurée par une ponctuation, une interruption orale qu'aucun signe graphique ne vient marquer. Le trait n'existe ni ne consiste qu'en un suspens, un arrêt, une absence. Benveniste insiste sur cette "étrangeté" : le verbe "être", qui est le verbe d'existence, a ce privilège d'être présent dans un énoncé où il ne figure pas. Sa nature particulière, sa singularité est de rester comme un trait supplémentaire qui, dans ces langues, ne s'énonce pas. |
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaEtre IJ.LIJ DerridaSupplementKP.LKP DerridaVoixUE.LUE U.etre Rang = NEGenre = MK - NP |
|||||||||||||||