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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La vérité en peinture", Ed : Flammarion, 1978, p83 Scene de berger (Caspar Netscher, 1660) - |
Oeuvre, arrêt, différance | En tant que parergon (ornement), le cadre d'une oeuvre d'art est appelé comme un supplément depuis le manque de cela même qu'il vient encadrer |
Oeuvre, arrêt, différance | ||||||||||||||
Derrida, le parergon | Derrida, le parergon | ||||||||||||||||
Derrida, manque, défaut, vulnérabilité | Derrida, manque, défaut, vulnérabilité | ||||||||||||||||
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Depuis Kant, dit Derrida, le manque est le cadre de toute théorie de l'esthétique. En quoi les ornements (parergon) d'un tableau se distinguent-ils de la représentation elle-même? Si l'on ajoute un voile à un corps nu, une colonne à un bâtiment, un cadre à un tableau, c'est parce que l'on ne se satisfait pas de l'objet lui-même. Qu'est-ce qui fait défaut au corps, au bâtiment, au tableau, pour qu'on ait besoin d'ajouter ces éléments supplémentaires dont Kant conteste la contribution à la beauté? Qu'est-ce qui manque à l'oeuvre (ergon) pour que ce bord soit nécessaire tout contre elle? Et ce manque, existait-il avant qu'on ajoute le cadre, ou bien est-il en même temps produit et production du cadre? Si le cadre ne fait pas partie de l'oeuvre elle-même, il ne fait pas partie non plus du monde extérieur. Il est entre les deux et se détache des deux. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaArt JC.DUA DerridaSupplementQI.LLK OeuvreInarretEF.LDF DerridaParergonJM.LJM DerridaManqueHP.LHH T.encadrement Rang = NGenre = MR - IB |
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