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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, notre époque | Derrida, notre époque | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'à - venir | Derrida, l'à - venir | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Foi et Savoir, suivi de Le Siècle et le Pardon", Ed : Seuil, 2000, p16 Photo prise depuis le TGV (Pierre Delayin, 11 aožt 2009) - |
Derrida, eschatologie, messianique | Notre horizon, ici maintenant, est une absence d'horizon : des lieux sans issue ni chemin assuré, sans dehors prévisible, qui conditionnent l'avenir |
Derrida, eschatologie, messianique | ||||||||||||||
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Il n'y a pas de carte prévisible, il n'y a pas de programme calculable, il n'y a même pas de route ni d'arrivée. Que faire alors? Penser et dire cette absence d'horizon. Laisser venir l'événement. Laisser l'horizon tel qu'il est, troué. Préserver des lieux aporétiques. Derrida en nomme trois : l'île, la Terre promise, le désert. Que sont ces lieux? Des figures de l'horizon troué, qu'on appréhende comme des abîmes, car ils sont le lieu d'origine de la croyance (le désert dans le désert). Selon Husserl, l'horizon de l'humanité est, grâce au langage, infiniment ouvert. Cette formulation de Derrida évoque autre chose : un trou dans l'horizon, une absence qui vient perturber toute perspective, toute prévision possible. Ce trou, Derrida l'appelle aussi le revenant. Contrairement au spectre, qui nous regarde sous sa visière, le revenant n'a pas de regard. Il arrive sans prévenir, comme la mort. |
Tout ce passe comme si notre époque (contemporaine), ayant perdu tout horizon crédible, revenait aux conditions même de la croyance, en ce point qui fonde tout rapport à l'autre. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaCtp VH.LDD DerridaA_venirCD.LLD DerridaMessieHE.LHE Q.absence Rang = MGenre = MR - IA |
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