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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, acquiescement, le "oui" | Derrida, acquiescement, le "oui" | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, date et signature | Derrida, date et signature | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Ulysse gramophone, Deux mots pour Joyce", Ed : Galilée, 1987, pp58 et 70 Oui bleu (Matricia Dentyar, 2010) - |
Derrida, l'autre | En disant "Oui", je m'engage et je signe, je réponds à l'interpellation d'un autre en lequel je crois |
Derrida, l'autre | ||||||||||||||
Derrida, l'adresse | Derrida, l'adresse | ||||||||||||||||
L'oeuvre, et le paradoxe du "oui" | L'oeuvre, et le paradoxe du "oui" | ||||||||||||||||
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Quand j'acquiesce, quand j'approuve ou quand je promets, je m'engage auprès d'un autre. Au moment où je prononce le "oui", je signe. Je ne nomme rien, je ne décris rien, mais je réponds à une demande ou à une question. Pour dire "Oui", il faut bien que je croie, au moins implicitement, en cet autre - qu'il soit extérieur ou qu'il soit un autre en moi. Sans cette croyance ou cette adresse, le "oui" n'aurait aucune portée. Pour signer, il ne suffit pas d'écrire son nom propre (p94). Il faut encore faire un geste qui prend le sens d'un "oui". Je promets que c'est bien moi qui ai signé. La mémoire de ce geste conditionne tout engagement. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaOui HE.LHE DerridaSignatureFD.LDF DerridaAutreDG.LDD DerridaAdresseGF.LLK OeuvreOuiRireEF.LEF UOui Rang = NOuiGenre = MP - DET |
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