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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la dissémination | Derrida, la dissémination | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, limitrophie, limite et arrêt | Derrida, limitrophie, limite et arrêt | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p315 Travaux de lecture (Simon Han tai, 1999) - |
Derrida, auto - affection | La dissémination circule infiniment sur elle-même; sa marche n'est limitée qu'à la marge, par pliure |
Derrida, auto - affection | Autres renvois : | |||||||||||||
Simon Hantaï |
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Derrida, la marche, le pas | Derrida, la marche, le pas | ||||||||||||||||
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Derrida analyse le blanc chez Mallarmé. Ce n'est pas un thème : il n'est pas question de blancheur, mais d'un espacement qui se reproduit sans cesse. Le blanc revient par son affinité avec le vide. Il s'interpose entre les signifiants. Il y a toujours plus de métonymies, toujours un tour de plus, on ne peut pas l'arrêter. Si c'est une rhétorique, ses marges sont illimitées. Mais il y a quand même un arrêt : le blanc se plie. C'est une limite étrange, mais une limite quand même. L'objet devient indépendant : il semble n'avoir plus d'autre origine que lui-même, bien que cette présence, cette réappropriation, ne soit qu'un leurre théologique. ------- La poésie de Mallarmé est une oeuvre d'art. La différance ne s'y arrête pas. Elle ne peut que s'y plier : elle se plie à l'oeuvre, et son pli se marque et se re-marque dans l'oeuvre, qui prend la forme d'un objet. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaDissemination HT.HHJ DerridaLimiteDI.IIU DerridaAutoAffectionFN.JJH DerridaMarcheGF.LLM UDissMarche Rang = NGenre = MJ - NA |
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